MARATHON DE ROTTERDAM # DEMOOIST* !!!
* le plus beau
Plusieurs critères sont à prendre en compte lorsque l'on choisit de faire un marathon : beauté du parcours, qualité de l'organisation, profil de la course plus ou moins impactant sur le sacro saint dieu Chrono, nombre de participants,... bref tout un tas de paramètres propres à chaque athlète.
Au regard de tout ça, le marathon de Rotterdam qui s'est déroulé dimanche 7 avril présentait de nombreux atouts : parcours quasi plat propice à la performance ( 2ème plus rapide au monde ), départs et arrivés en centre ville rendant l'aspect logistique du voyage facilité, tout comme les moyens pour se rencdre à Rotterdam au départ de Nîmes, une organisation reconnue mondialement avec la présence des meilleurs athlètes du moment, plus de 30.000 participants sur toutes les courses, et 60 nations représentées.
Et c'est ainsi que notre Gentille Organisatrice Lorraine ROBIN amena avec ses valises Christian ROZIER, Sébastien BESSON, Géraud DANGUILHEN & sa compagne Evelyne pour passer un week-end prolongé dans la seconde ville des Pays-Bas en nombre d'habitants.
Rotterdam est le cœur industriel du pays, sa situation géographique à l'embouchure du Rhin et de la Meuse lui assure une place commerciale stratégique, étant le 1er port européen avec des infrastructures s'étendant sur plus de 42kms.... tiens, tiens, ça rappelle quelque chose... La ville quant à elle, alliant modernité architecturale et passé, a été en grande partie reconstruite après la Seconde Guerre Mondiale.
Tournons la page historique et géographique, et penchons nous sur le Marathon. Tout commence par le retrait des dossards au Word Trade Center de Rotterdam, où nous sommes accueillis à l'entrée par un D.J. qui sur ses platines passe du.....Aya Nakamura et son Djadja ! Vite rentrons !!! Les bénévoles en très grand nombre nous dirigent vers les tables afin de retirer le précieux sésame, puis passage dans le salon des exposants, il y a même une salle de consultation avec staff médical prêt à vous ausculter !
Le samedi soir, dans le même bâtiment, une Pasta Party est organisée : au menu, des pâtes, des pâtes, oui mais des... cuisinés avec plusieurs sauces au choix, buffet de crudités, une boisson au choix. Inutile de préciser que la pompe à bière n'a pas rencontré beaucoup de succès ce soir là. L'animation cette fois-ci est beaucoup moins prise de tête avec une chanteuse accompagnée au piano, participant par leurs douces mélodies à détendre ( un peu...) les inquiétudes du marathonien #pétocheveilledemarathon....
Après une nuit d'un sommeil plus ou moins réparateur, voici venu le dimanche, réchauffé par un soleil radieux dans un ciel bleu sans nuage. A 9h30' Evelyne prendra le départ du quart du marathon, situé sur la dernière boucle du parcours. Une demi heure plus tard nos 4 marathoniens s'engouffrent parmi une foule compacte pour accéder à leur sas de départ, situé juste avant le Pont Erasme, philosophe humaniste qui donna son nom au programme d'échange d'étudiants européens. Le départ donné, ça commence par la montée du pont, occupé sur toutes les voies par les coureurs, mais aussi une foule immense encourageant à en perdre la voix les bouffeurs de bitume. Puis ça redescends, on passe à proximité du Stade, nous nous éloignons du centre moderne pour passer dans un quartier plus calme dans la verdure environnante, la piste cyclable que nous empruntons n'est pas très large, rappelant celle du marathon d'Annecy, les montagnes en moins. Puis retour vers la ville et sa foule hurlante, ses nombreux groupes de musique, et après avoir enfin compris qu'aux ravitos le gobelet couvert de mousse polystyrène recelait en fait un fond d'eau... Dommage car avec cette chaleur ça va jouer des vilains tours à pas mal de monde. D'ailleurs au passage dans l'autre sens du Pont Erasme ça commence à marcher ou à baisser l'allure, et ce malgré un tonitruant "Waterloo" d'ABBA. On est entre le 25ème et le 30ème, il est midi passé, et la spectatrice avec son écriteau sur lequel on peut lire " Pain is just a word for french bread" remet un sourire aux lèvres mais n'empêche pas les jambes lourdes... Puis direction le Nord-Est de la ville pour la dernière boucle, autour du Lac Kralingse Plas, véritable écrin de verdure aux portes de la ville, aménagé comme seuls ces pays savent le faire, résultat d'une volonté politique forte. Au retour, nous passons Kubuswoningen, les fameuses maisons cubiques inclinées à 45°, puis le célèbre Markthal, marché couvert incontournable de la ville, et enfin tourner sur Coolsingel qu'il faudra descendre sur 500 longs derniers mètres pour franchir enfin la ligne d'arrivée.
Et chez nos athlètes, c'est Christian qui s'adjuge en 3h07'29" à 13,5 km/h de moyenne une 3ème place dans sa catégorie et 880ème au scratch. En 3h18'47" Lorraine la plus régulière sur ce parcours termine 99ème féminine et 17ème de sa catégorie. Le seul à améliorer son chrono, qui plus est de plus de 10', c'est Sébastien qui porte son record perso à 3h27'08". Enfin, c'est Géraud qui ferme le bal en 3h31'03".
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